2010-09-12

Touché

La vie passe
en attendant le train
Berkeley, CA USA, 28 août 2010
 Un nombre incalculable des gens touchent nos vies. Quelques restent avec nous jusqu'au bout. Quelques ne restent qu'un moment. J'avoue être sentimentale et me cramponner à ceux dont le temps est arrivé à poursuivre leur route.

L'internet fait possible la capacité pour toucher des tels plus des gens qu'avant. Grâce à blogging, ceux qui je ne faisais jamais la connaissance autrement ont touché ma vie. Comme ceux qui je connais face-à-face quelques relations ont perduré et quelques se sont émoussé. Et comme avec ceux qui je connais face-à-face chacun de ses relations m'a aidé à apprendre et mûrir.
Maintenir la vie
Des abeilles ramassent  du pollen
sur Cirsium vulgare (Onopordum acanthium?)
Canal du juoy, Metz, France juillet 2009

Mais l'internet fait aussi la capacité pour maintenir les liens qui demandent être libéré. Grâce à statuts et tweets on tient ces liens ténus indéfiniment et avec plus des gens. Avec un billet banal de 150 caractères ou moins on maintient la communication avec centièmes des gens, au moins superficiellement.

Mais même pendant je désire ces communications être plus profondes elles restent superficielles. Et puis moins fréquent. Et bien que je sais il vaut mieux lâcher et concentrer sur ceux qui sont présents ou font autrement le temps pour moi ou qui ont quelque chose plus profond à offrir, je manque de trouver la force de quitter complètement. Alors je continue à taper 150 caractères ou moins dans une vaine tentative de faire quelque chose à partir de rien.